J'ai une théorie là dessus 1 : Il n'y a ni amitié ni amour (spontané)
Premier post d'une série sur mes "théories" que j'assène souvent à mes proches, parfois avec fondements et parfois sans, me basant juste sur une "vision". Elles sont souvent à propos de comportements humains inconscients.
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Il n'a pas d'amitié avec le ou les sexes que nous préférons. Il n'y a pas d'amour spontané non plus.
On est intéressé par l'autre et/ou attiré par l'autre à divers degrés.
Le niveau d'attirance, d'intérêt et des règles sociales vont déterminer jusqu'où nous allons aller en terme de témoignage affectif. Tout ceci se fait inconsciemment bien entendu.
Draguer consiste à augmenter l'intensité de témoignages affectifs par des mots, des touchés, un rapprochement.
Parfois des consentements explicites sont demandés pour passer sur une certaine gamme de témoignages affectifs. Le fameux "tu veux sortir avec moi" par exemple.
Parfois les choses se font plus naturellement.
L'alcool, drogue la plus couramment consommée car en vente très peu contrainte, vient parfois brouiller les limites que l'on se fixe inconsciemment vis à vis de ces témoignages affectifs, l'inhibition baissant.
Passé un certain stade de témoignages affectifs, d'autres règles sociales vont nous contraindre à l'exclusivité. Ca s'appelle le couple.
Je connais une exception. Les Américains tant qu'ils "datent" peuvent paralléliser des relations sans conséquences, avant de choisir un ou une de leurs "dates".
Parfois, l'augmentation de l'intérêt, de l'attirance et des témoignages affectifs associés augmentent de façon corrélés et... paraboliques, montant puis retombant, parfois de façon droite, augmentant régulièrement, parfois de façon catholiques. La question de savoir si la retombée de la courbe est inéluctable est un sujet toujours ouvert de mon côté.
Un dernier point intéressant, parfois les signes affectifs sont décorellés de l'intérêt et l'attirance. On va montrer, pour diverses raisons des signes affectifs à quelqu'un qui ne nous attire et ne nous intéresse pas plus que ça et à l'inverse, de nombreux films et livres se basent sur cela, et je finirai là-dessus : pour diverses raisons, nous allons montrer que très peu de signes d'affection à quelqu'un qui pourtant nous attire et/ou intéresse. On en reparlera.
Voila !
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Il n'a pas d'amitié avec le ou les sexes que nous préférons. Il n'y a pas d'amour spontané non plus.
On est intéressé par l'autre et/ou attiré par l'autre à divers degrés.
Le niveau d'attirance, d'intérêt et des règles sociales vont déterminer jusqu'où nous allons aller en terme de témoignage affectif. Tout ceci se fait inconsciemment bien entendu.
Draguer consiste à augmenter l'intensité de témoignages affectifs par des mots, des touchés, un rapprochement.
Parfois des consentements explicites sont demandés pour passer sur une certaine gamme de témoignages affectifs. Le fameux "tu veux sortir avec moi" par exemple.
Parfois les choses se font plus naturellement.
L'alcool, drogue la plus couramment consommée car en vente très peu contrainte, vient parfois brouiller les limites que l'on se fixe inconsciemment vis à vis de ces témoignages affectifs, l'inhibition baissant.
Passé un certain stade de témoignages affectifs, d'autres règles sociales vont nous contraindre à l'exclusivité. Ca s'appelle le couple.
Je connais une exception. Les Américains tant qu'ils "datent" peuvent paralléliser des relations sans conséquences, avant de choisir un ou une de leurs "dates".
Parfois, l'augmentation de l'intérêt, de l'attirance et des témoignages affectifs associés augmentent de façon corrélés et... paraboliques, montant puis retombant, parfois de façon droite, augmentant régulièrement, parfois de façon catholiques. La question de savoir si la retombée de la courbe est inéluctable est un sujet toujours ouvert de mon côté.
Un dernier point intéressant, parfois les signes affectifs sont décorellés de l'intérêt et l'attirance. On va montrer, pour diverses raisons des signes affectifs à quelqu'un qui ne nous attire et ne nous intéresse pas plus que ça et à l'inverse, de nombreux films et livres se basent sur cela, et je finirai là-dessus : pour diverses raisons, nous allons montrer que très peu de signes d'affection à quelqu'un qui pourtant nous attire et/ou intéresse. On en reparlera.
Voila !