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Amour vs. Emprise, à 4 mains avec ChatGPT

Moi : Est-ce que l’amour est une forme d’emprise  ChatGPT : L'amour peut parfois être confondu avec de l'emprise, surtout dans des relations déséquilibrées où l'un des partenaires exerce un contrôle excessif sur l'autre. Cependant, dans une relation saine et équilibrée, l'amour est basé sur le respect mutuel, la confiance et le soutien, plutôt que sur le contrôle ou la manipulation. Moi : Le sentiment amoureux nous rend non cartésiens, donc ne sommes nous pas sous l’emprise de l’amour  ChatGPT : Le sentiment amoureux peut en effet influencer notre façon de penser et de percevoir le monde, parfois en mettant de côté notre rationalité. Cependant, être sous l'emprise de l'amour implique généralement un niveau plus extrême de contrôle ou de manipulation de la part d'un partenaire sur l'autre, ce qui peut être nocif. Dans une relation saine, l'amour peut certes influencer nos décisions, mais il ne devrait pas nous priver complètement de notre capa

Les IA génératives telles que GPT : Une révolution qui redéfinit le paradigme de la recherche d'information

Dans l'écosystème numérique, la recherche d'informations est un processus essentiel et omniprésent. Jusqu'à récemment, ce processus impliquait de poser une requête à un moteur de recherche et de naviguer à travers une myriade de résultats génériques, filtrés et ordonnés par des algorithmes. Google a fait un pas important en extrayant des fragments de contenu pertinents des sites web en réponse à certaines requêtes. Cependant, cette approche restait limitée et parcellaire. Mais aujourd'hui, une révolution est en marche grâce aux IA génératives telles que GPT. Cette technologie révolutionnaire promet de transformer notre façon d'interagir avec l'information en ligne. La requête : La première étape et la dernière étape Avec l'avènement des IA génératives telles que GPT, la requête au moteur de recherche est potentiellement à la fois la première et la dernière étape du processus de recherche. Au lieu de passer du temps à trier et à évaluer les résultats générés

La retraite a 64 ans.

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La retraite a été inventée quand l’espérance de vie était a peu près à cet age justement. Grosso modo ca ressemblait plus à un élément de dignité humaine pour ne pas que les gens meurent littéralement en bossant. Et depuis... Meme le sort des ouvriers est nettement meilleur. Et donc tout ce monde est dans la rue pour une année de travail en plus. Il y a une relative incohérence dans cette lutte, qui s'entend par ailleurs. Et si le sujet n’était pas dans cet âge ? Et si le sujet était dans les trajectoires de travail en fonction des ages et des risques? Un éboueur doit il ramasser des poubelles dans la rue après 60 ans ?  Un couvreur doit il monter sur les toits à 63 ans ?  Un peintre doit il respirer des produits chimiques de 16 a 60 ans ? Une manucure doit elle se plier en deux les mains crispées sur un pinceau à 61 ans ?  Et si on réflechissait à des activités taillées pour les gens vieux, donc plus ou moins diminués physiquement ?  Et si on évaluait la prise en compte de différ

Les relations entre personnes n’ont rien de naturelles

Je crois que les relations entre humains n’évoluent pas naturellement. Elles sont conditionnées à l’occurrence d’évènements et de choix conscients. Pour le début d’une relation amoureuse on dit souvent "si ça doit se faire ça se fera", pour une relation amicale "c’est devenu un bon ami", "on s’est rapprochés". À l’inverse pour le déclin de relations on dira "on s’est perdus de vue", "c’est difficile de voir untel il est très occupé". On va invoquer le destin. Dire qu’avec des enfants on a moins le temps. Comme s’il n’y avait pas de contrôle, de responsabilité. Je me dis que c’est potentiellement faux. L’évolution des relations, de connaissance vers amitié, d'amitié à connaissance, d'amitié vers intimité, de connaissance vers intimité, et à l’inverse d’amitié à connaissance, etc. est liée à des choix et des événements. 1. Il y a déjà le choix d’aimer l’autre. Je veux dire par là être tourné vers lui ou elle et lui donner de soi,

La sexualisation des contenus consommés, quels impacts sur la "vraie" vie ?

Les hommes sont tirés par leurs désirs sexuels, depuis toujours. (Je parle des hommes et des relations hommes - femmes car je ne me sens pas légitime l'aller au-delà) mais les choses évoluent. Les stars d’aujourd’hui sont plus sexualisées que jamais (Rhianna, Dua Lipa, Britney Spears, les Kardashians, Miley Cirus, etc.). Les réseaux sociaux (Insta, Ticktock, etc.) alimentent un flux infini de contenus sexualités. Le porno est a 2 clic.  Notre société est à son paroxysme de sexualisation des contenus consommés. Et en même temps… La prostitution est interdite. Punie. Les relations hommes femmes évoluent. Les hommes sont de moins en moins en position de domination, on se penche sérieusement sur ce qu'est vraiment un consentement (et c’est très bien, pas de nostalgie ici). L’essor du digital éloigne physiquement les humains, impacte négativement l’occurrence de rencontres. Entrer dans des relations intimes donc sexuelles se complexifie. Le souci : Ces deux phénomènes s’entrechoquen

Et si on fléchait les dépenses vers des produits à faible impact énergétique ?

Jean-Marc Jancovici est un de mes penseurs sur le climat préféré. Il parle souvent du couplage direct entre économie et énergie. C’est un principe physique pour lui. Tout est une histoire de kilowatt. La conséquence pour lui : techniquement la baisse des ressources mène à une baisse des PIBs. Je me dis qu’il y a d’autres angles... Prenons une dépense de 100 dans un cours de yoga. Le coût énergétique de ce cours est quasi nul. Pareil pour une pièce de théâtre, très peu coûteuse énergétiquement. Si on achète 100 des produits locaux faits mains, le résultat est un coût énergétique faible. Si on achète 100 des chaussures faites en France, avec des produits recyclés, une usine qui respecte je ne sais quelle norme environnementale, le coût énergétique est relativement faible. Aussi, si on achète des produits de qualité et chers on va mathématiquement en acheter moins, en volume, baissant potentiellement le coût énergétique. Ainsi les flux de dépenses peuvent mener à des coûts énergétiques di

La pilule. Pourquoi les féministes devraient la remettre en cause.

Je suis avec grand intérêt les avancées féministes, ces termes nouveaux qui entrent dans le quotidien : charge mentale, sororité, déconstruction, "on te croit". Mais je suis fasciné qu’un sujet reste inaudible : la pilule. Ces pilules ont été vues comme un vecteur de libération de la femme. Elles le sont encore . Pourtant, quelque chose m’échappe. Faire un enfant nécessite des spermatozoïdes entrant dans l'utérus dans une période de fécondité bien définie. Toute personne ayant essayé de faire des enfants sait que c’est une fenêtre relativement courte. Ces spermatozoïdes viennent du sexe masculin. Ils sortent au moment de l’éjaculation. Et l’éjaculation, les hommes la sentent venir. Toute personne qui en a déjà eu peut en attester. Il y a le mythe de l’irruption indomptable, incontrôlable, mais non. Sauf forte alcoolémie ou prise de drogues, il est très rare d'être surpris. Toute personne qui voit un film X pourra constater que les acteurs savent brièvement avant l’évé